Gran Turismo 5 Prologue - Jeu vidéo
Éditeur | Sony Computer Entertainment |
Plate-forme(s) |
Le résumé
Quatre longues années après la sortie controversée de Gran Turismo 4 Prologue sur PS2, Sony et Polyphony Digital nous refont le coup de la démo payante avec GT5 Prologue sur PS3. Commercialisé au Japon au prix de 4.980 yens (environ 30 €) pour sa version Blu-ray ou 4.500 yens (presque 28 €) pour son téléchargement depuis le PS Store, il ne débarquera pas chez nous avant le mois de mars prochain. Pour savoir à quoi s'en tenir, voici donc un petit décorticage en règle de cet apéritif dans son édition japonaise, et ce, à près d'un an de la sortie du vrai GT5, prévu au plus tôt pour la fin de l'année au pays du Soleil-Levant.
Après une installation d'une dizaine de minutes et une petite séquence de cinématiques, GT5 Prologue s'ouvre sur un menu principal du plus bel effet, où siège en arrière-plan notre véhicule sélectionné et posté au beau milieu d'une forêt ou d'une petite bourgade pittoresque. Une grande bouffée d'air frais dans une ambiance piano-bar appréciable entre deux courses auxquelles on accède depuis les icônes Arcade, Event ou bien Dealer. Grosso modo, on compte ici une bonne quarantaine d'épreuves, réparties sur ces trois modes donc, et avec pour seuls objectifs de terminer premier de la course, de battre un temps donné et c'est tout. D'emblée, on comprend que cet épisode joue à fond la carte du minimalisme, et on se placera immédiatement dans le baquet, aucun permis n'étant cette fois-ci nécessaire pour piloter la quarantaine d'engins mis à notre disposition. Assez variée, la sélection comprend uniquement des modèles de série, issus des catalogues de Nissan (350Z, Skyline R34 ou R35, ...), Suzuki (Cappuccino et Swift Sport), Renault (Clio RS), Audi (TT 2007 ou R8), BMW (Z4, 135i Coupé et M3 Coupé 2007) mais aussi Chevrolet (Corvette Z06), Dodge (Viper GTS 2002), Lotus (Elise) et j'en passe.
Comme prévu, Gran Turismo 5 sera également le premier épisode de la saga à accueillir des bolides griffés Ferrari, et on en retrouve déjà ici deux différents, à savoir la F430 et la 599. Toutes sont malheureusement bloquées au lancement du jeu, et il faudra donc les acheter une par une pour remplir son garage et participer aux courses, la plupart étant réservées à des modèles bien précis et divisés par catégorie (C, B, A et S pour les plus puissants). On changera donc régulièrement de volant, ce qui permet certes de s'essayer à nombre de véhicules mais aussi d'augmenter considérablement la durée de vie du jeu (une bonne dizaine d'heures), d'autant que les voitures coûtent pour la plupart bien cher par rapport aux quelques crédits glanés en course. Le farming de crédits sera donc bien une nouvelle fois de la partie, et autant dire que l'on a pas fini de tourner en rond sur Daytona. La bonne nouvelle, c'est qu'on pourra cette fois-ci le faire en compagnie d'autres joueurs en ligne.
Après une installation d'une dizaine de minutes et une petite séquence de cinématiques, GT5 Prologue s'ouvre sur un menu principal du plus bel effet, où siège en arrière-plan notre véhicule sélectionné et posté au beau milieu d'une forêt ou d'une petite bourgade pittoresque. Une grande bouffée d'air frais dans une ambiance piano-bar appréciable entre deux courses auxquelles on accède depuis les icônes Arcade, Event ou bien Dealer. Grosso modo, on compte ici une bonne quarantaine d'épreuves, réparties sur ces trois modes donc, et avec pour seuls objectifs de terminer premier de la course, de battre un temps donné et c'est tout. D'emblée, on comprend que cet épisode joue à fond la carte du minimalisme, et on se placera immédiatement dans le baquet, aucun permis n'étant cette fois-ci nécessaire pour piloter la quarantaine d'engins mis à notre disposition. Assez variée, la sélection comprend uniquement des modèles de série, issus des catalogues de Nissan (350Z, Skyline R34 ou R35, ...), Suzuki (Cappuccino et Swift Sport), Renault (Clio RS), Audi (TT 2007 ou R8), BMW (Z4, 135i Coupé et M3 Coupé 2007) mais aussi Chevrolet (Corvette Z06), Dodge (Viper GTS 2002), Lotus (Elise) et j'en passe.
Comme prévu, Gran Turismo 5 sera également le premier épisode de la saga à accueillir des bolides griffés Ferrari, et on en retrouve déjà ici deux différents, à savoir la F430 et la 599. Toutes sont malheureusement bloquées au lancement du jeu, et il faudra donc les acheter une par une pour remplir son garage et participer aux courses, la plupart étant réservées à des modèles bien précis et divisés par catégorie (C, B, A et S pour les plus puissants). On changera donc régulièrement de volant, ce qui permet certes de s'essayer à nombre de véhicules mais aussi d'augmenter considérablement la durée de vie du jeu (une bonne dizaine d'heures), d'autant que les voitures coûtent pour la plupart bien cher par rapport aux quelques crédits glanés en course. Le farming de crédits sera donc bien une nouvelle fois de la partie, et autant dire que l'on a pas fini de tourner en rond sur Daytona. La bonne nouvelle, c'est qu'on pourra cette fois-ci le faire en compagnie d'autres joueurs en ligne.