Flatout Ultimate Carnage - Jeu vidéo
Éditeur | Empire Interactive |
Plate-forme(s) |
Le résumé
Les caisses défoncées et les mini-jeux débiles, Flatout, c'est son truc et bien évidemment, FlatOut Ultimate Carnage ne déroge pas à la règle.
A mi-chemin entre Destruction Derby et Burnout, le titre de Bugbear nous convie à une nouvelle boucherie métallique sur fond de pétarades et de cris de pilotes éjectés comme de vulgaires pantins. Cinq modes de jeu se partagent l'affiche dans cet épisode avec d'un côté la carrière et de l'autre des épreuves uniques comprenant courses, cascades, événements et derbys, le tout en solo (comme dans le carnage mode) ou bien à plusieurs sur le Xbox Live voire en hotseat jusqu'à huit dans les deux cas.
Sous "cascades", il faut toujours comprendre des mini-jeux mettant en scène le pilote qui remplacera alors le cas échant une fléchette, une boule de bowling ou je ne sais quoi encore en s'éjectant depuis son véhicule. Oui, FlatOut Ultimate Carnage conserve le "bon" goût de la série, et ce n'est d'ailleurs guère étonnant avec un nom pareil.
Outre ces jeux de massacre, les derbys reprennent le concept ravageur de l'arène, avec des concurrents un peu plus futés que d'habitude semble-t-il. Evoquée un peu plus haut, la carrière regroupe, enfin, un peu de tout cela avec en plus une notion d'argent. A la fin de chaque épreuve, on remportera un petit pécule, en fonction de son classement mais aussi selon son comportement sur la piste. Une petite marge est en effet accordée aux pilotes les plus rapides ou encore les plus destructeurs.
La jolie carotte pour un titre globalement plus bourrin que le premier. Comme d'habitude, ces deniers durement gagnés serviront ensuite à acquérir de nouveaux véhicules mais aussi à les améliorer petit à petit, grâce à un choix de pièces correct, sans plus. Bref, déjà que les nouveautés entre FlatOut et FlatOut 2 n'étaient pas flagrantes, ici, on joue carrément au jeu des sept différences. Tout comme FlatOut 2, Ultimate Carnage propose en tout cas niveau contenu ce que l'on attend d'un titre du genre, et c'est bien là l'essentiel.
A mi-chemin entre Destruction Derby et Burnout, le titre de Bugbear nous convie à une nouvelle boucherie métallique sur fond de pétarades et de cris de pilotes éjectés comme de vulgaires pantins. Cinq modes de jeu se partagent l'affiche dans cet épisode avec d'un côté la carrière et de l'autre des épreuves uniques comprenant courses, cascades, événements et derbys, le tout en solo (comme dans le carnage mode) ou bien à plusieurs sur le Xbox Live voire en hotseat jusqu'à huit dans les deux cas.
Sous "cascades", il faut toujours comprendre des mini-jeux mettant en scène le pilote qui remplacera alors le cas échant une fléchette, une boule de bowling ou je ne sais quoi encore en s'éjectant depuis son véhicule. Oui, FlatOut Ultimate Carnage conserve le "bon" goût de la série, et ce n'est d'ailleurs guère étonnant avec un nom pareil.
Outre ces jeux de massacre, les derbys reprennent le concept ravageur de l'arène, avec des concurrents un peu plus futés que d'habitude semble-t-il. Evoquée un peu plus haut, la carrière regroupe, enfin, un peu de tout cela avec en plus une notion d'argent. A la fin de chaque épreuve, on remportera un petit pécule, en fonction de son classement mais aussi selon son comportement sur la piste. Une petite marge est en effet accordée aux pilotes les plus rapides ou encore les plus destructeurs.
La jolie carotte pour un titre globalement plus bourrin que le premier. Comme d'habitude, ces deniers durement gagnés serviront ensuite à acquérir de nouveaux véhicules mais aussi à les améliorer petit à petit, grâce à un choix de pièces correct, sans plus. Bref, déjà que les nouveautés entre FlatOut et FlatOut 2 n'étaient pas flagrantes, ici, on joue carrément au jeu des sept différences. Tout comme FlatOut 2, Ultimate Carnage propose en tout cas niveau contenu ce que l'on attend d'un titre du genre, et c'est bien là l'essentiel.